L’auteur touche du doigt les états jubilatoires que provoque la gloire, la déchéance se mêlant à la panne de créativité. Il pose le problème de l’image de soi, de la victimisation et du regard des autres. Et si nous étions les acteurs de notre vie, que l’imagination soit le remède absolu ? Jusqu’à la dernière ligne, le lecteur accompagne l’écrivain entre monde rêvé et réalité, ressentant avec lui toutes les émotions à fleur de peau.